La gremolata, magique pour réveiller un plat…

gremolata

La gremolata est un de ces petits riens qui changent tout. Les italiens l’ont inventée pour accompagner l’osso bucco. Les saveurs douce-acide de l’orange et du citron mêlées à celles plus vigoureuses de l’ail et du persil sont étonnantes. Elles donnent du caractère au jarret de veau, mais aussi aux sauces, aux salades, aux  pâtes, à des légumes grillés, au poisson, à la volaille…. La recette est simple. En quelques minutes le tour est joué avec quatre ingrédients, ail, orange, citron, persil.

Zester avec une râpe à grille fine une orange et un citron bio. Détacher les feuilles de 2 branches de persil plat, les hacher finement avec un petit robot pour herbes, en prélever une grosse cuiller à soupe. Presser une gousse d’ail. Mélanger intimement zestes, persil, ail. C’est tout, c’est prêt.

La gremolata, avec quoi ?

Deux cuillers à soupe sur des spaghettis  à l’huile d’olive.

Avec une salade de lentilles ou de haricots blancs.

Avec des asperges :  mélanger 1 cuiller à soupe de gremolata avec la vinaigrette. Je remplace l’ail de la gremolata par une petite échalote ou un petit oignon blanc nouveau.

J’en saupoudre des légumes grillés, tomates, aubergines, courgettes, oignons.

Elle pimente les avocats.

La gremolata encanaille une béchamel, une mayonnaise, de la ricotta...

Elle va bien avec les poissons.

Les gourmets la glissent sous la peau d’une volaille.

Les  associations sont infinies. A vous d’en inventer…

 

 

 

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